Symposium du Transatlantic Network Against Extremism (TransNex)
Date: 2024-12-17
La semaine dernière, sous la pluie et la neige de Montréal, des praticien·nes – membres du Transatlantic Network Against Extremism (TransNex) – de divers pays, dont les États-Unis, l'Allemagne, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada, se sont réuni·es pour un symposium de trois jours au Centre for the Study of Learning and Performance (CSLP). L'événement s'est focalisé sur le partage des meilleures pratiques, l'identification des besoins clés et l'exploration d'avenues pour prévenir la polarisation sociale et l'extrémisme violent dans les écoles et les sociétés.
TransNex est une initiative conjointe du SOCLES International Centre for Socio-Legal Studies, basé en Allemagne, et du Réseau des praticien·ne·s canadien·ne·s pour la prévention de l'extrémisme violent (RPC-PREV). Le groupe a été créé en tant que réseau transatlantique visant à consolider les collaborations entre les praticien·nes du Canada et de l'Allemagne afin de partager les pratiques et les expériences en matière de prévention des polarisations sociales.
« La conférence Transnex a fourni un espace chaleureux, ouvert et très nécessaire pour une présence authentique, une connexion, une réflexivité et une discussion ouverte sur les défis uniques auxquels les praticien·nes, les enseignant·es et les jeunes sont confronté·es face aux injustices sociales et aux polarisations sociales. »
La conférence était la première réunion en personne de TransNex après une série d'ateliers en ligne qui ont eu lieu entre juin et octobre 2024. Les ateliers visaient à aborder la question aux nombreux aspects de l'extrémisme violent dans les milieux de l'éducation, de la protection de l'enfance et de la jeunesse et du communautaire en offrant une plateforme aux diverses parties prenantes pour partager leurs expériences, leurs points de vue et leurs recommandations.
Hassan s'est réjoui du déroulement de la conférence, grâce aux compétences organisationnelles de Zeina Ismail-Allouche, responsable du CSLP et directrice des programmes au RPC-PREV, qui a veillé à ce que les présentations et les séances de partage se déroulent de manière positive et engageante.
« Le processus, ancré dans les méthodologies de recherche autochtones, a montré l'importance d'avoir des espaces qui sont vécus comme des espaces sûrs et de confiance pour permettre le partage d'une diversité d'expériences. »